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la corde... un boyau tors, tendu sur le bois, est le "fil conducteur" Ces pages tentent de rendre compte d'une étude sur la voix des harpes anciennes. Elles proposent une suite de tracés qui jalonnent une quête de l'architecture de la harpe, de ce qui en permet la mise en œuvre. Chacun d'eux est une étape, dans un lieu & un temps, plus ou moins longue et revisitée & en propose une lecture géométrique. De l'analyse des instruments présentés, c'est d'abord l'aspect théorique qui est mis en avant. Pour une meilleure compréhension, & les délices de la découverte d'autres discours dans ces figures aux multiples visages, il est indispensable de recomposer soi-même les tracés. Cette étude a été initiée dans le cadre pluridisciplinaire de proLyra, laboratoire d'archéologie musicale, puis grâce à la bienveillance de Jacques Chaillet, s'est élaborée sous l'égide de Jacques le Goff & de son équipe de l'ehess. La copie de la harpe de Tópaga pour Egberto Bermudez, Universidad Nacional de Colombia, la participation à Saint Jacques de Compostelle au projet los Sonidos del Portico de José Lopez Calo S.J. & le relevé de la harpe de la Wartburg grâce à Wolfgang Wenke, restaurateur au Bachhaus Eisenach, en constituent les étapes privilégiées & essentielles. & le voyage continue...
Tout cours d'histoire de la musique doit commencer contacts > @ harpe simple |
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yves d'arcizas. la marina, octobre 2004. m.à.j, balanger, 2023.
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